Mileage
0 km
Gearbox
Automatic
First registration
01/1961
Fuel type
Gasoline
Power
118 kW (160 hp)
Seller
Dealer
Basic Data
- Body type
- Other
- Type
- Used
- Warranty
- 3 months
Vehicle History
- Mileage
- 0 km
- First registration
- 01/1961
Technical Data
- Power
- 118 kW (160 hp)
- Gearbox
- Automatic
Energy Consumption
- Fuel type
- Gasoline
- CO₂-emissions
- 0 g/km (comb.)
Equipment
- Comfort & Convenience
- Light sensor
- Sunroof
- Safety & Security
- Electronic stability control
Colour and Upholstery
- Colour
- Gold
- Manufacturer colour
- Bi - Ton Bordeaux / Beige
Vehicle Description
Code / Type : W 189
Cylindrée : 2 996 cm3
Alimentation : Injection
Equipement : Climatisation, sellerie velours, injection,book de la restauration, poste becker d'origine
Etat : TBE
Disponibilité : Immédiate - dépôt vente
La réponse allemande à la marque haut de gamme anglaise !
Une berline haut de gamme grand confort, ex voiture d’ambassade !
Historique
Lors du premier Salon international de l'automobile de Francfort, qui eut lieu six ans après la guerre, en avril 1951, de nombreuses nouveautés furent présentées, dont des voitures de luxe. Outre le modèle 220, Daimler-Benz dévoila un nouveau modèle, encore plus populaire auprès du public : le modèle 300, la plus grande et la plus rapide des voitures de série allemandes de l'époque. Elle devint rapidement la voiture de prédilection des représentants politiques et industriels. On peut à juste titre la qualifier de véritable successeure de la « Grande Mercedes » d'avant-guerre, même si elle ne reçut jamais officiellement ce nom. Parmi les premières personnalités à avoir pris le volant du modèle 300 figuraient le chancelier Konrad Adenauer, le président Theodor Heuss, le ministre des Finances Ludwig Erhard et le chef du Parti social-démocrate Kurt Schumacher, pour n'en citer que quelques-uns.
Si le modèle 300 a été avant tout associé au nom du premier chancelier de la République fédérale d'Allemagne et que les amateurs de voitures anciennes l'appellent « Adenauer Mercedes », c'est parce que « der Alte » (l'ancien chancelier) ne se faisait jamais conduire autrement qu'en modèle 300, même lors de ses déplacements à l'étranger. Durant son mandat de chancelier fédéral jusqu'en 1963, puis jusqu'à sa mort en 1967, Adenauer posséda six modèles 300 différents. Sa première voiture officielle, datant de 1951, est aujourd'hui exposée au musée « Haus der Geschichte » (maison de l'histoire) de Bonn. Le modèle 300 d de 1959, utilisé par Adenauer après sa retraite, est passé aux mains de Daimler-Benz et est exposé au musée Mercedes-Benz.
Tout comme le modèle 170 S, la 300 n'est pas une pure construction d'après-guerre. Techniquement et conceptuellement, ses racines remontent au modèle 260 de 1940, qui n'a pas été produit en série en raison des conséquences de la guerre. Comme le modèle 220, la 300 était propulsée par un moteur six cylindres à arbre à cames en tête. Dans sa première version, il développait 115 ch et atteignait une vitesse maximale de 160 km/h. La structure et le châssis reprenaient globalement le concept des modèles 170 S et 220, mais étaient adaptés au poids plus élevé et aux remarquables performances routières de la 300. La principale nouveauté était une suspension à barre de torsion à commande électrique. Sous des charges extrêmes – la limite supérieure était initialement de 365 kg –, celle-ci servait de dispositif de nivellement pour les roues arrière. Outre la berline, disponible avec un toit ouvrant en option si désiré, il existait également un cabriolet D à cinq ou six places. La production de la série principale a été lancée en novembre 1951, après que les voitures de pré-série aient été largement testées.
En mai 1954, la première révision du modèle était lancée. La version améliorée, baptisée en interne 300 b, était dotée d'un moteur plus puissant de 125 ch à compression plus élevée, de mâchoires de frein plus larges et d'un servofrein à dépression. Extérieurement, certains détails avaient également changé : la 300 b était dotée de vitres pivotantes aux portes avant, de pare-pierres chromés aux ailes arrière et de butées de pare-chocs avant et arrière.
En septembre 1955, au troisième Salon international de l'automobile de Francfort, un autre modèle 300 modifié fut exposé. Ce nouveau modèle, baptisé en interne 300 c, était reconnaissable à sa lunette arrière agrandie et à ses pneus plus larges. Les profondes modifications apportées n'étaient pas visibles à l'extérieur : à l'instar des modèles 180 et 180 D, la 300 c était équipée d'un essieu transversal à simple articulation, garantissant une meilleure tenue de route. De plus, elle était désormais disponible en option avec une transmission automatique, non développée par Daimler Benz, mais fournie par Borg-Warner. Cette transmission automatique, dite « Detroit-Gear », était conçue comme un convertisseur de couple hydraulique avec deux satellites secondaires et un embrayage monodisque intégré pour la transmission directe.
Comme ses prédécesseurs 300 et 300 b, le modèle 300 c était disponible avec un toit ouvrant coulissant et/ou une cloison de séparation si désiré et pouvait en outre être fourni en version cabriolet D à quatre portes. Afin d'assurer une production plus unifiée et parce que la demande était faible, le cabriolet fut retiré du programme de vente en avril 1956 et produit seulement jusqu'en juin 1956.
Une version spéciale de la 300 c fut produite et livrée à la Chancellerie fédérale, suite au souhait exprimé par ce dernier. La nouvelle voiture Adenauer était équipée d'un toit ouvrant coulissant et d'une cloison de séparation, et son empattement était allongé de 100 mm. Les sièges arrière étaient reculés de 40 mm, ce qui augmentait l'espace pour les jambes de 140 mm à l'arrière de l'habitacle. En juin 1956, cette version spéciale fut intégrée au programme de vente régulier et les premiers nouveaux modèles furent livrés en août.
En août 1957, une version profondément remaniée du modèle 300 fut présentée. Elle se distinguait nettement de son prédécesseur, tant sur le plan technique qu'extérieur. Le numéro de modèle W 189 désignait une nouvelle construction avec sa propre série pour le modèle 300 d. Les similitudes avec la 300 c étaient pourtant évidentes. La transmission et le châssis étaient repris du modèle précédent, mais seule la version longue, avec un empattement de 3 150 mm, était utilisée. L'avancée technique la plus importante résidait dans le fait que le mélange air/carburant n'était plus assuré par un carburateur, mais par une injection intermittente dans le collecteur d'admission. Associé à une compression plus élevée, cela permettait d'atteindre une puissance de 160 ch. La 300 d était équipée de série de la transmission automatique « Detroit-Gear », mais une transmission manuelle était également disponible sur demande. À partir de mars 1958, la direction assistée ZF Saginaw était également disponible (mais pas en combinaison avec la transmission manuelle). À partir de décembre 1958, la climatisation Behr était disponible, faisant de la 300 d la première Mercedes-Benz à proposer cette option. Mais avec un prix de 3 500 DM, ce n'était pas vraiment une offre spéciale.
La carrosserie de la 300 d a été modernisée, notamment au niveau du toit et de l'arrière ; grâce à un design plus fin des montants C, la surface vitrée a pu être augmentée de 30 %. La 300 était désormais dotée d'une carrosserie « pleine vue » sans montants, permettant l'ouverture complète des vitres latérales, et était donc désignée comme une berline à toit rigide. Le coffre offrait un volume de chargement 15 % plus grand que celui de la 300 c.
Outre la limousine, qui, comme sa devancière, pouvait être équipée d'un toit ouvrant et/ou d'une cloison de séparation, un Cabriolet D était également disponible à partir de décembre 1958. La différence de prix substantielle de 8 500 DM garantissait une grande exclusivité et un faible nombre d'unités produites.
Encore plus exclusives furent les quatre voitures individuelles construites en 1960 sur la base de la 300 d. Trois d'entre elles, une limousine Pullman et deux Landaulets Pullman, reposaient sur un châssis allongé avec un empattement de 3 600 mm et un toit surélevé. L'une des deux Landaulets fut équipée d'un fauteuil simple à l'arrière, option offerte au pape Jean XXIII, et livrée à ce dernier en décembre 1960. La deuxième Landaulet et la limousine Pullman restèrent à l'usine comme voitures de représentation, destinées à être louées au gouvernement ou à d'autres riches groupes pour des événements spéciaux.
La quatrième voiture individuelle, inadaptée à la représentation, n'était pas destinée à être exposée au public. Il s'agissait d'un break deux portes entièrement refait à neuf, utilisé pendant de nombreuses années comme véhicule de mesure performant dans le département des essais.
Descriptif
La voiture que nous proposons à la vente est une MERCEDES W189 300 D « Dora » de 1961 automatique qui se présente en excellent état avec un intérieur en velours gris d’origine, moquette en laine et un magnifique tableau de bord en bois.
Le ciel de toit en très bon état d’origine ; la voiture est équipée d’une rare option de climatisation BEHR avec conduits arrière de ventilation d’origine sur la plage arrière (gaines translucides spécial climat tropical), le compresseur est démonté et disponible.
La sellerie velours est en très bon état, les sièges ne sont pas affaissés, on notera juste le bourrelet supérieur du siège conducteur qui témoigne d’une usure prononcée et devra faire l’objet d’une réfection si le futur acquéreur veut profiter d’une sellerie parfaite. Les panneaux de porte sont en bon état ainsi que les dos des dossiers AV ; la moquette est complète, usagée par le temps mais en aucun cas arraché ou déchirée.
La voiture dispose d’un historique peu commun :
- Voiture dans la famille depuis plus de 25 ans. Cette voiture fut la voiture officielle de l'Ambassade de France aux USA, puis pour le Consulat de France au Gabon. Conduite à gauche, compteur en Miles
- Restauration mécanique complète en 1998. Moteur 3 litres à injecti
Cylindrée : 2 996 cm3
Alimentation : Injection
Equipement : Climatisation, sellerie velours, injection,book de la restauration, poste becker d'origine
Etat : TBE
Disponibilité : Immédiate - dépôt vente
La réponse allemande à la marque haut de gamme anglaise !
Une berline haut de gamme grand confort, ex voiture d’ambassade !
Historique
Lors du premier Salon international de l'automobile de Francfort, qui eut lieu six ans après la guerre, en avril 1951, de nombreuses nouveautés furent présentées, dont des voitures de luxe. Outre le modèle 220, Daimler-Benz dévoila un nouveau modèle, encore plus populaire auprès du public : le modèle 300, la plus grande et la plus rapide des voitures de série allemandes de l'époque. Elle devint rapidement la voiture de prédilection des représentants politiques et industriels. On peut à juste titre la qualifier de véritable successeure de la « Grande Mercedes » d'avant-guerre, même si elle ne reçut jamais officiellement ce nom. Parmi les premières personnalités à avoir pris le volant du modèle 300 figuraient le chancelier Konrad Adenauer, le président Theodor Heuss, le ministre des Finances Ludwig Erhard et le chef du Parti social-démocrate Kurt Schumacher, pour n'en citer que quelques-uns.
Si le modèle 300 a été avant tout associé au nom du premier chancelier de la République fédérale d'Allemagne et que les amateurs de voitures anciennes l'appellent « Adenauer Mercedes », c'est parce que « der Alte » (l'ancien chancelier) ne se faisait jamais conduire autrement qu'en modèle 300, même lors de ses déplacements à l'étranger. Durant son mandat de chancelier fédéral jusqu'en 1963, puis jusqu'à sa mort en 1967, Adenauer posséda six modèles 300 différents. Sa première voiture officielle, datant de 1951, est aujourd'hui exposée au musée « Haus der Geschichte » (maison de l'histoire) de Bonn. Le modèle 300 d de 1959, utilisé par Adenauer après sa retraite, est passé aux mains de Daimler-Benz et est exposé au musée Mercedes-Benz.
Tout comme le modèle 170 S, la 300 n'est pas une pure construction d'après-guerre. Techniquement et conceptuellement, ses racines remontent au modèle 260 de 1940, qui n'a pas été produit en série en raison des conséquences de la guerre. Comme le modèle 220, la 300 était propulsée par un moteur six cylindres à arbre à cames en tête. Dans sa première version, il développait 115 ch et atteignait une vitesse maximale de 160 km/h. La structure et le châssis reprenaient globalement le concept des modèles 170 S et 220, mais étaient adaptés au poids plus élevé et aux remarquables performances routières de la 300. La principale nouveauté était une suspension à barre de torsion à commande électrique. Sous des charges extrêmes – la limite supérieure était initialement de 365 kg –, celle-ci servait de dispositif de nivellement pour les roues arrière. Outre la berline, disponible avec un toit ouvrant en option si désiré, il existait également un cabriolet D à cinq ou six places. La production de la série principale a été lancée en novembre 1951, après que les voitures de pré-série aient été largement testées.
En mai 1954, la première révision du modèle était lancée. La version améliorée, baptisée en interne 300 b, était dotée d'un moteur plus puissant de 125 ch à compression plus élevée, de mâchoires de frein plus larges et d'un servofrein à dépression. Extérieurement, certains détails avaient également changé : la 300 b était dotée de vitres pivotantes aux portes avant, de pare-pierres chromés aux ailes arrière et de butées de pare-chocs avant et arrière.
En septembre 1955, au troisième Salon international de l'automobile de Francfort, un autre modèle 300 modifié fut exposé. Ce nouveau modèle, baptisé en interne 300 c, était reconnaissable à sa lunette arrière agrandie et à ses pneus plus larges. Les profondes modifications apportées n'étaient pas visibles à l'extérieur : à l'instar des modèles 180 et 180 D, la 300 c était équipée d'un essieu transversal à simple articulation, garantissant une meilleure tenue de route. De plus, elle était désormais disponible en option avec une transmission automatique, non développée par Daimler Benz, mais fournie par Borg-Warner. Cette transmission automatique, dite « Detroit-Gear », était conçue comme un convertisseur de couple hydraulique avec deux satellites secondaires et un embrayage monodisque intégré pour la transmission directe.
Comme ses prédécesseurs 300 et 300 b, le modèle 300 c était disponible avec un toit ouvrant coulissant et/ou une cloison de séparation si désiré et pouvait en outre être fourni en version cabriolet D à quatre portes. Afin d'assurer une production plus unifiée et parce que la demande était faible, le cabriolet fut retiré du programme de vente en avril 1956 et produit seulement jusqu'en juin 1956.
Une version spéciale de la 300 c fut produite et livrée à la Chancellerie fédérale, suite au souhait exprimé par ce dernier. La nouvelle voiture Adenauer était équipée d'un toit ouvrant coulissant et d'une cloison de séparation, et son empattement était allongé de 100 mm. Les sièges arrière étaient reculés de 40 mm, ce qui augmentait l'espace pour les jambes de 140 mm à l'arrière de l'habitacle. En juin 1956, cette version spéciale fut intégrée au programme de vente régulier et les premiers nouveaux modèles furent livrés en août.
En août 1957, une version profondément remaniée du modèle 300 fut présentée. Elle se distinguait nettement de son prédécesseur, tant sur le plan technique qu'extérieur. Le numéro de modèle W 189 désignait une nouvelle construction avec sa propre série pour le modèle 300 d. Les similitudes avec la 300 c étaient pourtant évidentes. La transmission et le châssis étaient repris du modèle précédent, mais seule la version longue, avec un empattement de 3 150 mm, était utilisée. L'avancée technique la plus importante résidait dans le fait que le mélange air/carburant n'était plus assuré par un carburateur, mais par une injection intermittente dans le collecteur d'admission. Associé à une compression plus élevée, cela permettait d'atteindre une puissance de 160 ch. La 300 d était équipée de série de la transmission automatique « Detroit-Gear », mais une transmission manuelle était également disponible sur demande. À partir de mars 1958, la direction assistée ZF Saginaw était également disponible (mais pas en combinaison avec la transmission manuelle). À partir de décembre 1958, la climatisation Behr était disponible, faisant de la 300 d la première Mercedes-Benz à proposer cette option. Mais avec un prix de 3 500 DM, ce n'était pas vraiment une offre spéciale.
La carrosserie de la 300 d a été modernisée, notamment au niveau du toit et de l'arrière ; grâce à un design plus fin des montants C, la surface vitrée a pu être augmentée de 30 %. La 300 était désormais dotée d'une carrosserie « pleine vue » sans montants, permettant l'ouverture complète des vitres latérales, et était donc désignée comme une berline à toit rigide. Le coffre offrait un volume de chargement 15 % plus grand que celui de la 300 c.
Outre la limousine, qui, comme sa devancière, pouvait être équipée d'un toit ouvrant et/ou d'une cloison de séparation, un Cabriolet D était également disponible à partir de décembre 1958. La différence de prix substantielle de 8 500 DM garantissait une grande exclusivité et un faible nombre d'unités produites.
Encore plus exclusives furent les quatre voitures individuelles construites en 1960 sur la base de la 300 d. Trois d'entre elles, une limousine Pullman et deux Landaulets Pullman, reposaient sur un châssis allongé avec un empattement de 3 600 mm et un toit surélevé. L'une des deux Landaulets fut équipée d'un fauteuil simple à l'arrière, option offerte au pape Jean XXIII, et livrée à ce dernier en décembre 1960. La deuxième Landaulet et la limousine Pullman restèrent à l'usine comme voitures de représentation, destinées à être louées au gouvernement ou à d'autres riches groupes pour des événements spéciaux.
La quatrième voiture individuelle, inadaptée à la représentation, n'était pas destinée à être exposée au public. Il s'agissait d'un break deux portes entièrement refait à neuf, utilisé pendant de nombreuses années comme véhicule de mesure performant dans le département des essais.
Descriptif
La voiture que nous proposons à la vente est une MERCEDES W189 300 D « Dora » de 1961 automatique qui se présente en excellent état avec un intérieur en velours gris d’origine, moquette en laine et un magnifique tableau de bord en bois.
Le ciel de toit en très bon état d’origine ; la voiture est équipée d’une rare option de climatisation BEHR avec conduits arrière de ventilation d’origine sur la plage arrière (gaines translucides spécial climat tropical), le compresseur est démonté et disponible.
La sellerie velours est en très bon état, les sièges ne sont pas affaissés, on notera juste le bourrelet supérieur du siège conducteur qui témoigne d’une usure prononcée et devra faire l’objet d’une réfection si le futur acquéreur veut profiter d’une sellerie parfaite. Les panneaux de porte sont en bon état ainsi que les dos des dossiers AV ; la moquette est complète, usagée par le temps mais en aucun cas arraché ou déchirée.
La voiture dispose d’un historique peu commun :
- Voiture dans la famille depuis plus de 25 ans. Cette voiture fut la voiture officielle de l'Ambassade de France aux USA, puis pour le Consulat de France au Gabon. Conduite à gauche, compteur en Miles
- Restauration mécanique complète en 1998. Moteur 3 litres à injecti
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